3 astuces pour commencer 2026 en beauté grâce à l’IG bas
Janvier est souvent le mois des bonnes résolutions, mais aussi celui des coups de barre à répétition. L’intérêt de l’IG bas n’est pas de manger autrement pour suivre une tendance, mais de retrouver une énergie plus stable, une faim plus prévisible et moins d’envies de grignotage au fil de la journée. Voici trois astuces concrètes pour démarrer l’année avec plus de constance et de sérénité.
Miser sur l’entrée qui change tout : fibres et acidité
Avant un repas qui contient des glucides, l’ordre dans lequel on mange a un impact réel sur la glycémie. Commencer par une petite entrée riche en fibres, associée à un élément acidulé comme le vinaigre ou le citron, permet de ralentir l’absorption des sucres qui suivent.
Quelques idées simples à intégrer au quotidien : une salade de crudités avec une vinaigrette à l’huile d’olive, une tomate mozzarella relevée d’un trait de vinaigre balsamique, ou encore une salade verte agrémentée de graines et de citron. Cette astuce agit en douceur.
On ne supprime rien, on ne frustre pas, on modifie simplement le contexte du repas. Le bénéfice est souvent immédiat. La glycémie devient plus régulière après le déjeuner et la somnolence post repas diminue nettement. C’est une stratégie discrète, mais redoutablement efficace sur la durée.
Transformer le goûter en véritable anti fringale
Le goûter est souvent le moment où l’on mange sans réelle faim, poussé par la fatigue ou le besoin de réconfort rapide. Dans une logique IG bas, l’objectif n’est pas de se priver, mais de vraiment satisfaire l’organisme pour éviter l’effet rebond une heure plus tard.
Une règle simple fonctionne très bien : associer une base protéinée à un élément croquant, riche en fibres ou en bons lipides.
Fromage blanc ou skyr avec des noix et une pincée de cannelle, yaourt nature avec une cuillère de purée d’amande et quelques fruits rouges, deux carrés de chocolat noir accompagnés d’une poignée de noix, ou même du houmous avec des bâtonnets de légumes.
Ces encas stabilisent l’appétit, calment les envies sucrées et évitent d’arriver affamé au dîner. En prime, ils permettent de conserver une vraie place pour le plaisir, sans culpabilité ni excès.
Jouer sur la cuisson et la texture plutôt que sur l’exclusion
On parle beaucoup des aliments eux mêmes, mais beaucoup moins de leur forme. Pourtant, la texture influence directement la réponse glycémique. Plus un aliment est cuit longtemps, mou, mixé ou liquide, plus il se comporte comme un sucre rapidement assimilé.
Deux ajustements simples suffisent souvent. D’abord, viser une cuisson al dente pour les pâtes, le riz ou les céréales. Ensuite, limiter les formes ultra transformées et très lisses comme les purées industrielles, les compotes consommées en grande quantité ou les smoothies répétés.
À l’inverse, conserver du mâcher ralentit naturellement l’absorption. Un fruit entier plutôt qu’un jus, des légumineuses en grains plutôt qu’en soupe mixée, un pain dense au levain plutôt qu’un pain très aérien. Il ne s’agit pas de bannir, mais d’ajuster la forme pour retrouver une digestion plus progressive.
Un test simple pour bien démarrer 2026
Pour éviter de vouloir tout changer d’un coup, une seule action suffit pour la première semaine. Choisissez un levier et appliquez le cinq jours d’affilée. Une entrée fibres et vinaigre avant le déjeuner, un goûter basé sur la combinaison protéine et croquant, ou une attention particulière portée aux cuissons et aux textures.
L’IG bas fonctionne d’autant mieux qu’il s’installe progressivement. En observant vos moments de fatigue ou de fringales, vous pouvez ensuite affiner ces astuces et les adapter à votre rythme de vie. Commencer l’année ainsi, c’est déjà poser les bases d’une énergie plus stable et d’un rapport à l’alimentation plus apaisé.